Le hall, la cafétéria et la salle modulable s'orientent sur l'entrée du parc, offrant ainsi aux résidents la possibilité de participer à la vie du quartier. La salle à manger, s'ouvre sur le verger derriére le bâtiment, qui a un caractère plus intime. Les chambres se répartissent sur deux étages, par blocs, de manière à permettre des cadrages sur le paysage. Ainsi les grands séjours permettent aux résidents de se détendre tout en contemplant les alpes autour d'une cheminée.
Le tuf, matériau identitaire de Corpataux-Magnedens, matériau constitutif du village (murs de fermes, socle de l'Eglise, monument communal), constitue un choix fondateur d'une mémoire du lieu et contribue fortement à l'identité du futur centre communal. Le volume est élémentaire, archaïque, la toiture est sans débords, le positionnement et le dessin de fenêtres plus grandes, marquent une ré-interprétation de figures familières, d'un archétype architectural.
Pavillon de forme anguleuse situé dans un parc, organisé autour d'une salle polyvalente ovoïde servant de source de lumière zénithale. Disposition des locaux en anneau de part et d'autre de la pièce centrale. Structure porteuse préfabriquée en bois (poteaux et dalle de toiture), façades ventilées recouvertes de verre.Ventilation à double flux, matériaux pauvres en énergie grise et recyclables, label Minergie.
Un bâtiment simple, fermement lié au mur d'enceinte du cimetière, offrant des parcours et des accès différenciés aux utilisateurs du cimetière et du centre funéraire. Organisé sur deux niveaux, le centre funéraire propose une entrée de plain-pied et un étage inférieur articulé autour d'un patio abritant les cryptes.
Habitations à loyer modérés HLM dans le cadre d'un plan de quartier préétabli. Quatre bâtiments distincts formant un ensemble urbain de part et d'autre de la villa Gardiol. Logements organisés autour de vastes pièces centrales appropriables. Façades porteuses en éléments préfabriqués de type «sandwich» teintés dans la masse.
Au milieu d'un quartier de villas proche du centre du village, deux maisons de dimensions inégales forment un volume unitaire à fort caractère urbain. A l'extérieur, la neutralité est de mise : volumétrie orthogonale, crépi gris, répétitivité des porte-fenêtres identiques sur toutes les façades. Une cour de gravier commune accueille le visiteur et réverbère le bruit de ses pas.
Habitations à loyer modéré sans subventions dans un plan de quartier préétabli. Deux bâtiments robustes de part et d'autre d'une cour à fort caractère. Appartements lumineux et rationnels. Deux bâtiments oblongs cherchent à former un ensemble d'une certaine densité autour d'une cour commune. Les immeubles affichent un caractèrea mural affirmé, avec une neutralité urbaine mais pas étrangère à la terre.
Das auf 8 Trägern abgestützte, 84 m lange und 43 m breite Glasdach dient als gedeckte Haltestelle des öffentlichen Verkehrs. Von 3,5 m ab Boden schwingt sich die Konstruktion bis auf 10 m Höhe, bevor sie sich wieder gegen die Strasse neigt. 530 verschiedene Glasscheiben aus VSG, mit Punkthaltern an der Stahltragkonstruktion aufgehängt, ergeben die nötige Transparenz, welche es den Passagieren ermöglicht, einen Blick auf die unter Denkmalschutz stehenden Gebäude zu werfen.
Das Dienstleistungszentrum «Bahnhof Bern» wird attraktiver und übersichtlicher gestaltet. Die Anlage verliert den höhlenartigen Charakter und wird zu einer lockeren Raumfolge, wodurch die Orientierungsmöglichkeit für den Reisenden verbessert wird. Nicht zuletzt trägt der Ersatz der erneuerungsbedürftigen Fassade des Empfangsgebäudes durch eine zeitgemässe «intelligente» Fassade dazu bei, dem Bahnhof ein seiner Bedeutung angemessenes Erscheinungsbild zu verleihen.
Drei grosse Plätze – zwei Wohnhöfe und der eigentliche Stadtpark – sind diagonal miteinander verflochten, ein räumliches Kontinuum entlang der inneren Siedlungsachse. Diese dient auch als Verbindungsstrang zu den Nachbargebieten. So wie die Gewerbebauten an der Quartierstrasse eine erste Nutzungsschicht bilden, lockern entlang dieser Gasse verschiedene Gemeinschaftseinrichtungen – Klubraum, Kindergarten, Spielplätze – und gleichmässig dichte Wohnbebauung auf.
Innerhalb eines dreidimensionalen Rasters werden 36 Wohneinheiten zu einer Anlage zusammengefasst. Aus den kubischen Einheiten von 5 x 5 x 2.70 m lassen sich für die verschiedenen Wohnprogramme kleine, mittlere und grosse Häuser zusammenstellen. Jeder Käufer wählt unter unserer Anleitung das für ihn geeignete Haus, zusammen mit ihm planen wir die im Rahmen des Gegebenen möglichen Ergänzungen. Der Grundraster erlaubt es, mit jedem Haus auf die Besonderheiten von Lage und Orientierung einzugehen.
Bei der Siedlung ging es darum, auf einem stark von Lärm belasteten Grundstück kostengünstige Wohnungen zu realisieren. Mit den zusammengebauten dreistöckigen Häusern wird ein Schutz gegen die Immissionen der Bahnlinie errichtet. Der Grossteil der Wohnungen ist zweigeschossig mit eigenem Garten. Nur im 2. Obergeschoss sind sie eingeschossig. Alle Wohneinheiten werden direkt aus dem öffentlichen Innenbereich heraus erschlossen, über den Garten, über Treppen und kurze Laubengänge.
Der Bau ist eine Weiterentwicklung der 1957 auf dem gleichen Terrain erstellten Reihenfamilienhäuser «Flamatt 1». Der nach Süden orientierte, auf Säulen stehende Baukörper enthält 3 Vierzimmerwohnungen und ein Atelier mit Zweizimmerwohnung. Für die farbige Gestaltung wurde der Berner Maler Rolf Iseli beigezogen. Die lebhafte Form des Baukörpers erlaubte nur eine sparasame Verwendung von Farben, die auf Weiss und ein kräftiges Orange beschränkt wurde.
Sechs Reihenhäuser (zweigeschossig, auf Säulen stehend) und ein Atelier, zusammengefasst zu einer Einheit und überlagert von einem Dachgarten. Durch spartanische Einfachheit in Konstruktion und Ausbau werden die Baukosten so niedrig wie möglich gehalten. «Flamatt 1» wird während der Planung von «Halen» realisiert und dient sozusagen als Prototyp und Testobjekt für die Häuser dieser Siedlung.
L'agrandissement est construit sur un minimum de fondations et en partie sur des profils métalliques en console avec un système de préfabrication composé d'éléments de bois et d'une couverture en cuivre. Ce choix vient de la volonté de réduire le plus possible les matériaux utilisés qui seront la pierre de l'édifice existant et de la nouvelle terrasse, ainsi que le cuivre de la couverture de la vieille cabane et de toute l'enveloppe du agrandissement.
Neues Einkaufszentrum wird etappenweise realisiert, um ohne Unterbrechung des Betriebes das bestehende Zentrum zu ersetzen. Man gelangt in ein fünfstöckiges Parkhaus, von wo aus Rampen in die natürlich belichtete Haupthalle der Einkaufsmall führen. Am westlichen Ende der Mall befindet sich eine Terrasse, die sich zur grünen Landschaft hin öffnet, von wo aus ein Fussweg in die Stadt führt. Der Bahnhof im Süden gewährleistet die Verbindung mit dem öffentlichen Verkehr.
Der für die Kleinstadt grosse Baukörper wird durch das Abknicken subtil in seiner grossen Ausdehnung gebrochen. Durch dieses Abknicken wird auf natürliche Weise ein länglicher Hof umfasst, der sich zur Stadt und zum Landschaftspark hin öffnet. Der unerwartete Zugang eines öffentlichen Gebäudes mit seinen verschiedenen Eingängen im Hof bewirkt eine dieser Schule angemessene Introvertiertheit. Dadurch wird auch die geschlossene äussere Form unterstützt.
Les façades entièrement vitrées de longue halle sont protégées par des lames en aluminium pivotant sur un axe en biais. Ce parti pris de désaxer les volets leur confère une dynamique et un rythme légèrement déhanché qui contraste avec l'aspect massif des murs. Un contraste qui se retrouve entre la rusticité du béton brut de décoffrage et la technique de précision des volets, tout comme entre un aspect extérieur minéral et rude et l'univers intérieur chaleureux et tout habillé de bois.
Pour accueillir le nouveau siège de l'UIP, la Villa Gardiol (Marc Camoletti, 1908) nécessitait une extension. Celle-ci tire parti de la déclivité du terrain et remplace le socle qui la compensait et lui servait de terrasse par un embasement beaucoup plus important permettant d'abriter salles de conférences, bureaux et foyer. Latéralement, il prend l'aspect massif d'un soubassement, tandis que de face et de l'intérieur, il offre la transparence d'un pavillon de jardin léger, ouvert et lumineux.
Objets posés sur ce plateau de béton brossé, chacun est enveloppé d'une double peau de verre, ce qui autorise un contrôle raisonné des échanges thermiques. La nuit, la double peau des édifices s'illumine en prenant en compte la performance de l'énergie accumulée. Comme quatre lucioles, leurs fluorescences confirment le caractère ludique de cet espace public.
Un ensemble de bâtiments en maçonnerie crépie et perforée de fenêtres verticales traditionnelles identiques. Les différentes masses prolongent et accentuent les diverses échelles présentes sur le site. Trois grandes fenêtres urbaines trouent les bâtiments entre la rue et le panorama. Ce dispositif concilie et dramatise aussi bien la densité du projet, qui «typifie» la ville, que la vue sur le paysage du lac et, au loin, de la silhouette alpestre.
Les bâtiments coulissent les uns par rapport aux autres, créant des espaces extérieurs en quinconce, différenciés les uns des autres, tout en étant reliés entre eux. Le bâtiment de l'école se situe à l'écart de la route, dans une zone plus calme. Elle est reliée à la place communale au nord et au parking au sud, tout en conservant un caractère intime propre à sa fonction. Le coulissement des bâtiments et des espaces extérieurs permet de lier ce nouvel ensemble aux autres éléments structurants du site.
Le projet concentre tout le programme dans la partie basse de la parcelle, permettant la création d'un jardin protégé entre les deux constructions, en laissant la villa Diserens autonome et libre d'affectation. Le bâtiment s'articule en deux volumes décalés en plans, lui conférant une échelle en rapport avec les bâtiments voisins. Dans le prolongement du restaurant, une terrasse s'ouvre vers le jardin. L`arborisation caractérisant cet ancien parc est conservée.
Les façades métalliques reprennent le langage du bâtiment scolaire nouvellement construit sur le site, en reprenant notamment la ventilation naturelle nocturne à l'aide de volets ouvrants, protégés par des grilles pare-pluie. De nouvelles spéciales sont créés (salle de science, de chimie, salles informatiques, etc) et la bibliothèque scolaire est agrandie. Toutes les installations techniques (sanitaires, ventilation, électricité) sont refaites à neuf.
Le programme se répartit dans quatre volumes en forme de baïonnette qui laissent «couler» entre eux de larges surfaces végétalisées, ouvertes sur le lac. Le choix de cette figure et l'implantation proposée permettent d'éclairer naturellement tous les espaces de circulation et de rencontre, qui s'ouvrent vers le sud, en distribuant toutes les chambres à l'est et à l'ouest.
Au fil des années et des besoins, des annexes se sont greffées au bâtiment, lui enlevant sa dignité originelle. Le projet a consisté à enlever ces adjonctions parasites pour faire ressortir l'essence modeste de la construction. Le bâtiment a été entièrement rénové sauf la toiture. Une attention particulière a été portée à l'amélioration de la qualité énergétique par la pose d'un crépis extérieur minéral isolant et d'un doublage intérieur avec isolation.
Le projet d'extension de l'école des années 70 pose la question de la continuité du modèle, confronté aux exigences constructives d'aujourd'hui et à la définition de l'école comme lieu de vie, de rencontres et d'échange. En s'inspirant de ces prémices, le projet réinterprète l'organisation existante et le système constructif préfabriqué mis en oeuvre. Cette analogie contribue à donner de l'unité à l'école.
Cette halle est destinée au lavage des avions et des véhicules spéciaux de l'aérodrome militaire. Le volume est simple: une structure métallique habillée de panneaux en polycarbonate et des plaques de tôles ondulée Montana pour la toiture. Le choix du polycarbonate a été dicté pour répondre de manière optimale à l'usage de la halle, pour ses bonnes qualités thermiques et pour son aspect translucide, transformant cette halle en boîte lumineuse au milieu de la plaine de la Broye.
L'école et la salle de gymnastique forme une figure en forme d'équerre, qui délimite d'un côté un préau ouvert sur le village et de l'autre les terrains de sport ouvert sur le Jura et la campagne environnante. Pour minimiser l'impact du volume de la salle de gymnastique, les locaux de service (vestiaires, local des engins) sont enterrés et dégagent en surface le parking demandé par le programme.
Le terrain très en pente et l'accès en amont depuis le nord a induit de créer les espaces communautaires de jour au niveau de l'entrée, soit au rez supérieur et de créer les espaces privatisés et intimes au rez inférieur avec sortie sur le jardin. L'organisation est rationnelle et économique et offre avec un minimum de terrassements des espaces de vie généreux où le paysage devient partie intégrante de l'architecture. La maison est construite en béton brut apparent.
Située sur un terrain en pente, orienté au sud sur le lac et les alpes, cette maison familliale présente un plan simple, avec les services au nord et les espaces de vie au sud. L'entrée se fait à travers un jardin intime limité par une haie de bambous. Des portes coulissantes permettent de séparer la cuisine des différents séjours disposés en enfilade. Un deck en bois fabrique la terrasse au sud, dans le prolongement des espaces intérieurs.
Cette garderie est issue de la transformation d'un café, au rez-de-chaussée d'un immeuble locatif des années 50. Les portes d'accès aux différents secteurs, largement vitrées et coulissantes, permettent d'éclairer naturellement le couloir central. La couleur permet de différencier les différents secteurs, en apportant une touche ludique à l'ensemble. A l'intérieur des différents secteurs, des portes coulissantes permettent de cloisonner les espaces en fonction de l'activité de l'enfant.
Isolé et replié dans un environnment rural, l'établissement de Bru offre des horizons géographiques naturels, des richesses variées dans un parc paysagé entre ombre et lumière, végétation et bâti,plans rapprochés et horizons lointins. Le nouveau bâtiment occupe le pied de talus existant à l'ouest du bâtiment de l'administration. En harmonie avec l'architecture voisine il structure le parcours extérieur de liaison entre le haut et le bas du site et valorise l'arborisation existante.
Isolé et replié dans un environnment rural, l'établissement de Bru offre des horizons géographiques naturels, des richesses variées dans un parc paysagé entre ombre et lumière, végétation et bâti,plans rapprochés et horizons lointins. Le nouveau bâtiment occupe le pied de talus existant à l'ouest du bâtiment de l'administration. En harmonie avec l'architecture voisine, il structure le parcours extérieur de liaison entre le haut et le bas du site et valorise l'arborisation existante.
Le nouvel ems prend place en bordure du village de Vernayaz, en forte relation avec les rochers des gorges du Trient. Par son implantation et sa volumétrie basse, le projet favorise des relations à une échelle humaine avec les espaces verts environnants. L'organisation des logements sur deux niveaux favorise la rationalité des unités de soins et participe au développement de l'atmosphère du lieu. L'extension suit la logique modulable de l'ensemble par l'adjonction de 6 chambre par niveaux de soins.
Par sa position, le nouveau volume délimite un cheminement clair et sécurisé en continuité au passage existant. La nouvelle structure d'accueil bénéficie d'un site privilégié à proximité de l'école, dans un quartier tranquille. Elle se veut ouverte, accueillante, vivante, à l'image d'une grande maison. Elle est structurée par trois boîtes fonctionnelles et traitées de manière ludique et colorées. Elles deviennent les repères des lieux pour les enfants, les piliers de la maison.
Le projet s'implante perpendiculairement à la pente, créant une nouvelle place d'accès sur la partie haute du site. Cette place relie le complexe scolaire au village, à travers un même espace représentatif des futurs fonctions publiques. La volumétrie renforce la direction principale du projet, orientée vers la vue et le dégagement naturel du site. La forme de la toiture reprend le thème de la topographie du terrain et fait référence aux constructions rurales du village.
Un quartier en développement à l'est de Martigny. Les prairies agricoles voisines laissent peu à peu place à la croissance de la ville. La maison s'inscrit dans cette évolution en proposant une composition volumétrique compacte, minérale. Le plan se développe autour d'un patio défini par le volume bas contenant les locaux techniques, les deux niveaux d'habitation et un mur d'enceinte parallèle à la route. Ces différentes parties de bâtiments sont lisibles comme un corps unique.
La nouvelle école cède la place au préau, espace extérieur privilégié. Le préau couvert crée un front à l'arrière du parking et oriente fortement la cour de récréation comme un balcon dégagé sur le lac. Les salles de classes offrent une vue privilégiées. Le bois, matériau choisi pour ses caractéristiques de mise en oeuvre. Poutres, poteaux, solives et revêtements intérieurs, l'ensemble juxtaposé et assemblé répond aux techniques de préfabrication nécessaires à l'édification d'un bâtiment économique.
Le concept rend hommage au lieu, aux limites de la ville et de la forêt. Lieu «vert» sous plusieurs aspects, il laisse libre l'espace entre les bâtiments, permettant alors une multitude d'appropriations, mais aussi une relation continue, physique et visuelle, avec la forêt environnante. L'organisation intérieure de l'immeuble est basée sur un principe simple, permettant aux appartements de jouir, au maximum, de relations avec l'extérieur, et favorisant les vues sur la ville, le lac et la forêt.
Implanté entre deux constructions historiques en pierre, dans un lieu exceptionnel, le bâtiment se caractérise par un volume de forme simple et de plan orthogonal, inséré dans le terrain et émergeant en ses deux extrémités à des altitudes différentes. Sa dimension et son orientation sont définies précisément par la topographie. La «terrasse» supérieure, ancienne aire de pâture, conserve son caractère et sa dimension d'origine. L'impact volumétrique de la proposition sur ce site remarquable est réduit.
L'immeuble à réhabiliter contenait un atelier de menuiserie et un appartement. Le concept d'intervention a été de clarifier une situation de contiguïté et de rechercher une expression volumétrique homogène pour donner une nouvelle identité à l'objet. Cette intervention a permis de créer un appartement de type loft dans les espaces de l'ancienne menuiserie et un logement de quatre pièces au-dessus. La structure porteuse et les façades originelles ont été partiellement conservées.
Un immeuble de trois appartements a été transformé pour y créer un logement destiné à une famille. La volumétrie a été maintenu. Son expression a été modifiée par une baie vitrée et une terrasse au sud et par le réaménagement des espaces extérieurs. L'intervention intérieure a permis de réaliser un appartement organisé sur trois niveaux. Le rez-de-chaussée contient les espaces de jour, le premier étage les chambres des enfants et le deuxième niveau les espaces réservés aux parents.
Le quartier des Alpes à Pully-Nord est caractérisé par sa topographie, par son réseau de rues, par l'implantation ponctuelle de ses constructions ainsi que par ses proportions intéressantes entre pleins et vides. Le bâti, constitué de volumes ponctuels, s'est développé au fil des ans le long des voies de circulation, tout en respectant la topographie du lieu et en laissant une certaine importance aux vides...
Le terrain à disposition, situé dans les hauts du village de Bevaix et destiné à la construction d'une maison individuelle a une surface de 1340m2. Il est occupé dans sa partie Nord par une première habitation individuelle datant des années septante. Le jardin, au sud de cette construction est subdivisé en deux grandes terrasses, séparées par un important talus artificiel.
Le site pour la réalisation de cette maison individuelle se trouve dans le haut du village de Cortaillod, dans une zone résidentielle composée de maisons individuelles, mitoyennes et de petits immeubles locatifs. Dans le quartier, il s'agit de la seule parcelle ayant conservé sa topographie naturelle. L'existence d'un verger ainsi qu'un cabanon de vigne sont les éléments significatifs de ce lieu...
Le projet réunit les bâtiments existants disparates par le nouveau traitement des façades isolées et doublées d'un bardage en zinc-titane. L'accent est porté sur les façades principales constituées d'éléments de brise-soleil fixes aux couleurs vives. Les surfaces existantes sont gardées et mises en valeur, tels le doublage en bois de la salle de gymnastique, les casiers des salles de classe, les sols en carrelages et en granit. Les murs existants ont été simplement repeints.
Afin de préserver le jardin, élément fondateur du projet initial, tout en densifiant la parcelle pour construire en maintenant les qualités du lieu, la réalisation concentre les éléments bâtis en s'appuyant littéralement sur la première réalisation. La nouvelle réalisation bénéficie d'une terrasse formée par la toiture de la première, elle s'ouvre principalement vers le lac. Un deuxième appartement, à l'étage, s'ouvre sur le lac tout en cherchant des relations avec les grands arbres voisins.
St-Gingolph se tourne essentiellement vers le lac, le terrain proposé pour la construction de la nouvelle école s'ouvre vers le sud et les sommets. Le projet s'implante dans l'endroit le plus en pente et garde la partie la moins pentue pour le préau. Trois espaces différenciés pour les élèves: au sud en relation avec les classes du 1er étage un préau réservé aux enfantines, à l'est le préau principal des classes primaires et au nord un espace vert en relation avec la salle villageoise existante.
La matérialisation a été dépendante du faible budget mis à disposition. La façade est composée de caissettes industrielles préisolées et recouvertes d'une tôle pliée trapézoïdale microperforée. Elle permet d'unifier les volumes et de protéger certaines parties de l'habitation, comme la salle de bains, des regards. À l'intérieur, les parties basses en contact avec le toucher est en sapin et les parties hautes laissées brut sont en acier.
L'organisation du projet révèle la typographie du lieu, en aval les classes et la salle de sport forment un socle mural avec le terrain. Le gros crépis et les embrasures profondes des fenêtres des classes renforcent l'ancrage au sol du socle tout en protégeant les classes d'une voie directe des espaces d'entrée.
Afin de poursuivre la logique urbaine, de retrouver des échelles et de signifier la présence du stade, le parti pris consiste à proposer un édifice jouant sur les réflexions et les transparences. Le socle propose une peau miroitante faite de verre et d'aluminium reflétant la ville; les façades supérieures au caractère diaphane révèlent en arrière plan la présence du stade.
Les cadrages sur les différentes composantes du site: le Jura, le cimetière du village, les pâturages et le lac renforcent la symbiose entre cette réalisation et son contexte Sculpture en bois cette maison pour une personne seule rappelle par son rapport au terrain, par le jeu de sa toiture et par l'abstraction de son enveloppe le monde du hangar et de la grange
Cette juxtaposition de deux expressions apparemment très différentes permet de mettre en valeur et d'asseoir le caractère permanent de l'édifice original -la demeure- en relayant l'immeuble d'habitation au rôle de bâtiment secondaire.
L'édifice présente deux visages, l'un modeste traduit par sa position sur le site et son toit à deux pans ; l'autre plus officiel, par sa façade vitrée et son grand porte-à-faux faisant face à l'église. Cette double lecture exprime sa fonction, à la fois intimiste et institutionnelle.
Un quartier des années 60 plutôt ouvrier, une parcelle résiduelle à la forme compliquée, la présence d'un dépôt en béton de deux niveaux. Ces contraintes sont compensées par des dégagements magnifiques sur le Château et sur le lac de Neuchâtel. En réponse à ces différents paramètres, le maître de l'ouvrage a opté pour la réalisation d'appartements «lofts» destinés à une clientèle jeune et aisée. Quatre appartements de 180m2 pourvus de grandes terrasses et d'un parking couvert.
Par le choix des couleurs, des matériaux et des formes évoquant simultanément le monde agricole, les années 60 et le logo, elles proposent une banque jeune. Développer un concept d'agencement à même d'offrir une image de marque et de répondre à des situations très différentes.
L'entrée est déplacée de la façade nord à la façade est et s'ouvre ainsi non plus sur l'accès piéton menant au village mais sur le parking, accès principal du centre commercial. L'enveloppe est conçue de manière à ne révéler que la zone d'entrée en voilant indistinctement le reste du bâtiment, qu'ils s'agissent de parties existantes ou nouvellement crées, de murs pleins, d'ouvertures ou d'installations techniques.
Le projet fait référence par son expression à l'hétérogénéité du quartier caractérisé parla présence de bâtiments industriels en cours de reconversion, de barres de logements des années 60 et de quelques habitations «heimatstil». Par sa volumétrie dégageant différentes échelles, par sa matérialisation: bois et tuile – et par la composition de ses façades: percement / bande, le projet s'imprègne de la richesse et des contradictions de son environnement direct.
A l'image du raccard, cette maison minimaliste préserve le site par son caractère suspendu. Pour répondre au besoin contemporain de prolonger la vie à l'extérieur, l'importante terrasse n'est pas traitée comme un élément rapporté, mais comme un élément constitutif de la composition.
La configuration du site mis à disposition constitué du mur d'enceinte et du porche de l'ancien cimetière a généré le développement du projet. Celui-ci repose sur un jeu de glissements entre pleins et vides établissant des rapports différenciés avec la limite. De ces tensions naît le caractère particulier de cette école enfantine.
Le parti architectural tient plus de la restauration urbaine que de l'architecture. Le projet ne se veut pas spectaculaire, il tente au contraire d'intégrer dans une composition cohérente les bâtiments existants ainsi que les différentes natures. Les nouveaux bâtiments s'articulent autour d'un espace construit qui réunit le gymnase et le centre professionnel. La géométrie simple des deux volumes émergents signe la nouvelle école.
Comme ce quartier du début du 20ème siècle n'a plus d'âme, il est reconduit de manière contemporaine par le traîtement des façades en éléments en béton préfabriqué à l'apparence gaufrée. Au vu de la complexité du lieu et de son hétérogénéité, le choix s'est porté sur le parti d'un bâtiment unique, non mitoyen, permettant ainsi de gérer le changement d'échelle et de matérialisation avec des bâtiments alentour.
L'enjeu lié à la réalisation part d'intentions contradictoires: protéger au mieux les utilisateurs, redonner un équilibre à la place et libérer la façade principale de la gare d'avant-plans dérangeant. Cette équation à plusieurs inconnues trouve sa réponse dans les impressions diverses et contradictoires que renvoie le projet : rigueur / poésie, matière / abstraction, présence / absence.
Succession de séquences spatiales comme autant d'émotions souhaitées, le cheminement le long des berges et le franchissement de l'Areuse mettent le promeneur à l'écoute de la nature et en contact avec la matière. Sur la passerelle, le sol en chaille indique une voie, et par là une continuité. Par un jeu de lamelles de bois et de profils d'acier, le claustra protège le passant sans l'oppresser, comme s'il voyage sous des branchages.
Au vu de la qualité de l'école des années 70 et de la modestie du nouveau programme à réaliser, le parti fut d'assurer la continuité tant en termes de volumétrie que d'expression architecturale. L'extension permet de redéfinir les zones de préau et les accès à l'entrée principale et propose, par sa position sur le site, de nouveaux espaces plus en rapport avec les échelles en présence.
Le projet tire parti de la complexité du site et de la difficulté à réaliser une extension dont le programme est plus important que celui du bâtiment initial. L'unité de la composition, en termes de proportions et de géométrie, est réalisée par les rapports que les trois volumes entretiennent entre eux.
Organisée sur trois niveaux, le niveau inférieur semi-enterré est en retrait de façon à accentuer le rapport au vide de l'étage d'entrée qui devient un véritable balcon sur la plaine du Rhône. Un mur d'enceinte qui contient les garages définit avec la villa le jardin d'agrément sur le plat et conduit jusqu'à l'entrée de la maison. Les pièces de jour et la chambre principale se trouvent à ce niveau et s'ouvrent sur une grande terrasse couverte qui devient la fenêtre sur le paysage.
Le nouveau poste de police de Sierre profite de la différence de niveau existante entre la place de la gare et les jardins de l'Hôtel de ville pour s'implanter dans le socle ouest et nord de ce dernier. La toiture complète le jardin de l'Hôtel de Ville. Les patios amènent la lumière au niveau des bureaux et des circulations intérieures. Les façades sont revêtues de pierre et les ouvertures sont disposées de façon irrégulière pour accentuer la force du socle.
Das Wohn- und Bürohaus aus den 70'er Jahren befindet sich an begehrter Lage am Zürichberg. Im mehrheitlich unter Terrain gelegenen Gartengeschoss mussten trotz ungünstiger räumlicher Verhältnisse repräsentative Büros eingebaut werden. Tageslicht fällt über ein Atrium in das Innere des unterirdischen Geschosses und verleiht den angrenzenden Räumen eine ruhige und konzentrierte Grundstimmung. Der Innenausbau zeichnet sich durch eine erlesene Materialisierung aus.
Alle Verkehrswege verlaufen nach dem Prinzip «je kürzer desto effizienter» in direkter Linie vom und zum gedeckten Abladeplatz an der Allmendstrasse. Als Grundelement der Halle dient ein rechteckiges stützenfreies Feld von 8x12m. Damit die Veränder- und Erweiterbarkeit des Erdgeschosses für künftige bauliche Veränderungen nicht eingeschränkt wird, sind alle Stützen biegesteif in der Sockelplatte verankert. Die Fabrik kann daher bei Bedarf auf beiden Seiten erweitert werden.
An der Sonnenbergstrasse sind fünf Wohnhäuser gehobenen Standards entstanden, drei horizontal strukturierte mit je zwei übereinanderliegenden Maisonettewohnungen und zwei vertikal organisierte Häuser mit je einer Wohnung. Die Tragkonstruktion ist ein Skelettbau in Ortbeton. Die Fassade wird entweder mit grossflächigen Holzelementen, die mit Baubronzeprofilen verkleidet sind, oder über regelmässig eingeteilte Verglasungen als Ganzmetallfenster in Aluminium geschlossen.
Das Wohnhaus Rothenberger ist der Versuch, das Thema des «Industriellen Bauens» und das Innenraumprinzip der «Maison Domino» weiter zu entwickeln. Die einzelnen Geschosse sind auf jeweils drei, auf unterschiedlichen Höhen angeordneten Ebenen aufgeteilt. Der Wunsch nach einem grossen, kostengünstigen Haus ist mit einfachem Betonskelett und Metallfassade umgesetzt. Die Fassadenmaterialien sind Halbfabrikate aus dem Industriebau. Im gehobenen Wohnungsbau nehmen sie eine unerwartete ästhetische Qualität an.
Günstig bauen kann in einem positiven Sinn stilbildend sein. Gerade aus der finanziellen Beschränkung ergibt sich möglicherweise ein neuer gestalterischer Ansatz oder sogar eine neue Ästhetik. Die äussere Bespannung mit Stoff gibt dem Gebäude innerhalb einer konventionellen Typologie eine neue ästhetische Dimension. Der Stoff dient einerseits der Beschattung, dient aber im Passivhaus auch als Luftpolster und Witterungsschutz.
Familien mit mittleren Einkommen können Land im Baurecht übernehmen und auf Stadtgebiet ein Eigenheim erstellen. Dieser städtebaulich kontrovers diskutierte Ansatz führte in den letzten zwei Jahren zu einer schnell wachsenden Zahl von Neubauten. Das Tragkonzept des Gebäudes funktioniert ähnlich wie das einer selbstragenden Autokarosserie. Boden, Wände und Decke bilden zusammen eine steife, selbsttragende Hülle. Die Wandplatten aus Holz sind ohne zusätzliche Rahmen oder Querstreben tragend.
Renovation und Umbau des denkmalpflegerisch geschützten zentralen Hauptbaus der Kasernenanlage Bern für die Zwecke der Armee XXI: Truppenunterkünfte, Auditorium mit 450 Plätzen, Ausbildungsräume, Büros und ein Restaurant für die Truppenverpflegung. Synthese zwischen imposanter Altbaustruktur und modernen Betriebsansprüchen, Erhaltung der ursprünglichen Ausdruckskraft der Korridorräume und Treppenhallen als Orte der Begegnung, Licht und Transparenz als Kontrast zur historischen militärischen Anlage.
Das Projekt basiert auf der Idee des offenen Friedhofs und des organischen Wachstums in kleinen Etappen. Höhenversetzte Hangterrassen sind durch ein fliessend ineinander übergreifendes System von Rampen verbunden. Bei Bedarf können weitere Terrassen hinzugefügt werden, ohne dass die Gesamtanlage ihre Grundform verliert. Durch die Reduktion der Gestaltung auf zwei Sitztische und die «leere Mitte» bleibt die unverwechselbare Landschaft das Alles beherrschende Element
Gesamterneuerung und Kapazitätssteigerung unter Einbezug der historischen Stationsgebäude, Erfüllung des Behinderten-Gleichstellungs-Gesetzes. Die neue Biel-Magglingen-Bahn ist konsequent für Mobilitätsbehinderte, Rollstühle, Kinderwagen, Velos und kleine Warentransporte zugänglich. Weltweit erstmalig wurden ein talseitiger fixer Haltepunkt und eine ausfahrbare Perronrampe am Wagen eingeführt.
Neubau Theatersaal 541 Plätze mit Bühnenturm, Foyer, Restaurant, Probebühne, Ateliertheater 120 Plätze, Ballettsaal und Administration unter Einbezug bestehender Altbauten. Wegen des extremen Kosten- und Zeitdrucks ist der voluminöse, hochinstallierte Kern der Anlage mit Zuschauersaal und Bühnenturm nach den Prinzipien eines Industriebaus erstellt.
Die beiden Mehrfamilienhäuser haben im Erd- und 1.Obergeschoss Etagenwohnungen, sowie eine grosszügige Duplexwohnung mit Attika. Durch die Übereckstellung entsteht bei den drei Doppeleinfamilienhäusern je eine Ost- und eine Westwohnung, welche sich über- und umeinander nach oben winden. Das sich spiralförmig durch das Haus Bewegen ermöglicht ein Erleben aller Himmelsrichtungen, bis hin zum «Turmzimmer» mit Aussenbereich. Es entstehen also Doppelhäuser mit Qualitäten von freistehenden Einfamilienhäusern.
Ein zentraler Erschliessungskern, pro Geschoss drei windmühlenartig angeordnete, unterschiedlich ausgerichtete Wohnungen. Die periskopartig auskragenden Loggias respektive Erker fokussieren den Blick in die Weite. Gleichzeitig schützen die seitlich vorgezogenen Wände die Loggias vor Wind und Wetter. Der zusammengefasste Wohn-, Ess- und Kochbereich steht in starkem Bezug zur auskragenden Loggia. Zusammen mit den überhohen Räumen (2.65 m im Licht) entsteht eine räumlich grosszügige Wirkung.
Durch die Bauordnung ist im Erd- und Obergeschoss eine grosse Gebäudetiefe vorgegeben. Hier befinden sich die grösseren Wohnungen. Ab der 2. Etage ist eine reduzierte Gebäudetiefe vorgegeben. Hier befinden sich 2 ½ und 3 ½ Zimmer-Wohnungen. In der Attika sind Wohnungen mit vorgelagerten Terrassen. Die leichte Hangneigung erlaubt im Erdgeschoss überhohe Wohn- und Essbereiche. Bedingt durch den südseitigen gemeinschaftlichen Freiraum sind die Aussenräume der Wohnungen als eingezogene Loggias ausgebildet.
Die beiden zueinander abgedrehten Bauten sind so situiert, dass alle Wohneinheiten über einen optimalen Seebezug verfügen. Durch die versetzt angeordneten Bauvolumen entstehen spannungsvolle Aussenräume. Der Baumbestand kann weitgehend erhalten bleiben. Das dunkel lasierte Holz lässt die Bauten kompakt erscheinen und intergriert sie in die baumbestandene Parzelle. Zusammen mit den naturbehandelten Fenstern entsteht eine stimmige Materialisierung.
Volumina und Dimension des schlanken, langen Wohnbaus wurden durch die städtische Bauordnung weitgehend vorgegeben. Das Gebäude gliedert sich in einen gegen Westen ausgerichteten Kopfbau, welcher zwei Duplex-Wohnungen enthält und neun Stadtvillen. Die neun Stadtvillen sind als flexibel nutzbare Wohneinheiten auf 4 Geschossen konzipiert. Das erste Obergeschoss kann wahlweise entweder als offener Arbeitsbereich genutzt oder mittels nichttragenden Wänden zu drei Schlafräumen ausgebaut werden.
eine über 1000m2 grosse lagerfläche wurde durch den einbau eines allseitig verglasten lichthofs in dienstleistungsflächen umgenutzt. das neue atrium gliedert den grossen innenraum in zwei bereiche und verbessert wesentlich die belichtungsverhältnisse. die bestehende tragstruktur mit primarträgern aus stahl und sekundärträgern aus holz bleibt weitgehend erhalten. die rustikal wirkenden holzschalung und balkenlage werden durch einen silberfarbigen anstrich veredelt.
Der öffentliche Charakter des Heims wird durch seine städtebaulich prominente Lage unterstrichen. Das Alters- und Pflegeheim verfügt mit dem Platz an der Neumarktstrasse und dem Park gegen die Schüss über zwei attraktive Aussenräume. Dem überdeckten Eingangsbereich vorgelagert, liegt der neue städtische Platz an der Neumarktstrasse. Die Eingangshalle mit Cafeteria und Aufenthalt steht in direkter Verbindung zum Empfang/Heimleitung sowie zum Ess- und Mehrzweckraum.
Die denkmalgeschützte Liegenschaft gehört zur Bautengruppe der «Vacheries de Macolin» und wird seit Jahrzehnten nicht mehr landwirtschaftlich genutzt. Der Westteil des 1. Obergeschosseswurde für die Eigentümerin zu einem Appartment mit Galerie ausgebaut. Anstelle des alten Tenns aus den 30er Jahren wurde ein mit Kupfer verkleideter Kubus an die bestehende Liegenschaft angefügt. Dieser zweigeschossige Essbereich mit Küche durchdringt zusammen mit der Galerie im Dachgeschoss das Gebäude.
Die Volumetrie des in Sichtbeton materialisierten Hauses wird durch sein inverses Pultdach bestimmt. Die gegenläufigen Dachneigungen lassen überhohe Räume entstehen und reagieren auf die unterschiedlichen Niveaus von Carport und Erdgeschoss. Im Erdgeschoss definieren der Koch-, Ess- und Wohnbereich eine atriumartige Terrasse. Der eingezogene, windgeschützte Aussenraum gewährleistet dem gegen Nordwesten ausgerichteten Wohnen bereits um die Mittagszeit eine gute Besonnung.
Zwei Sichtbetonbauten mit insgesamt 5 Wohneinheiten und ein Carport bilden zusammen ein bauliches Ensemble. Der Carport und die zwei Wohnbauten definieren, der Hangneigung entsprechend, einen leicht abgesenkten Hof. Die shedartige Anordnung der Pultdächer ermöglicht ein Oblichtband für die optimale Belichtung der 12.00m tiefen Wohnräume. Die Lochfenster artikulieren den Sockelbereich und stehen im spannungsvollen Kontrast zu den grossen Öffnungen im Erdgeschoss.
Das offene Gleisgeschoss übernimmt das Niveau der heute bestehenden Parkierungsebene und wird durch den Kopfbau gegen den Bahnhofplatz abgeschlossen. Die sich darauf befindenden 157 Parkplätze dienen dem Park+Ride der SBB. Um auch in Zukunft den Verlad von Gütern auf die Bahn gewährleisten zu können, ist dieses Geschoss mit einer Verladerampe und einem Dienstgebäude für die SBB ausgerüstet.
Ziel der Verlängerung Bahnhofpassage ist eine attraktive und sichere Fussgängerverbindung Richtung Masterplangebiet, Nidau und See. Die Verlängerung der Bahnhofpassage ist als konischer Raum ausgebildet mit einer mittleren Breite von 17 m. Durch die Schrägstellung der Wand entsteht ein konischer Raum der sich Richtung Masterplangebiet, Nidau und See öffnet. Die neue Bahnhofpassage wirkt dadurch je nach Blickrichtung und Standort entweder optisch kürzer oder länger.
Le programme scolaire se dissocie en 3 bâtiments. Les programmes à vocation publiques, l'aula et les 3 salles de gym, s'orientent sur l'avenue d'Aïre, alors que les fonctions scolaires plus ordinaires se positionnent en retrait. La rigueur constructive des façades se conjugue aux coloris dégradés subtils (contribution de l'artiste Susanna Fritscher) et crée l'expression à la fois radicale et ludique de l'ensemble.
Le nouveau volume instaure un dialogue avec le bâtiment existant et entretient, par sa position à l'entrée du village, un lien fort avec le site et son environnement. Les façades pignons rappellent les formes caractéristiques des grandes fermes vaudoises. Revêtue d'une peau en cuivre et de larges fenêtres, l'extension se démarque de l'existant par la matérialisation abstraite de son volume sans pour autant renier son appartenance à ce nouvel ensemble.
Bien que son patrimoine architectural ne présente aucun intérêt particulier, le volume existant a été conservé pour ses valeurs plastiques et la diversité de ses vues – au sud sur le lac Léman et les Alpes françaises et au nord sur les collines du Jura. L'épuration formelle du bâtiment précise son emprise sur le site et uniformise les interventions successives sur sa masse bâtie pour lui donner une homogénéité qui laisse l'ancien et le nouveau se confondre jusqu'à fusionner.
La recherche d'une continuité avec le bâtiment existant fixe les règles volumétriques de l'extension. L'attitude « fusionnelle » adoptée envers l'existant permet de définir une entrée unique pour les trois salles de gymnastique. La mise en scène de la vue, accentuée par l'absence de montants verticaux sur trente-deux mètres de longueur, est rendue possible grâce à une poutre à treillis multiple de six mètres de hauteur et préfabriquée en bois de sapin massif.
L'expression des différentes couches composant la façade est exacerbée par le traitement bicolore des éléments métalliques et par les venteaux coulissants des fenêtres qui se glissent derrière le revêtement de la façade. La partition des salles de gymnastique et de l'école en deux volumes distincts permet aux nouveaux volumes de s'intégrer dans l'échelle des constructions existantes et de préciser les espaces extérieurs jusqu'ici traités de façon résiduelle.
Le nouveau collège des Tuillières s'inscrit au coeur de la« cité ouest » des années 60-70, dont l'architecture est inspirée de la « cité radieuse » de Le Corbusier et présente un concept très clair de « non-appropriation » privée du sol. Le généreux dégagement de verdure, disposé au centre du site et mis à disposition de tous les habitants du quartier, est une des forces majeures de ce concept urbanistique et architectural.
Le traitement des façades s'exprime par couches successives qui révèlent l'épaisseur de la peau par des jeux de transparence. Le revêtement de planches en bois de mélèze brut de sciage donne une forte présence, une identité, au nouveau volume. A l'intérieur, les mouvements et les déplacements sont accompagnés par les vues et les différentes lumières. Dès l'entrée dans le bâtiment, le foyer offre une vue cadrée et lointaine sur la campagne et les Alpes.
Construite en 1954 par l'architecte Orlando Lauti, cette villa urbaine présente des détails de construction soignés et une riche matérialisation de ses espaces intérieurs. Le projet se concentre sur l'amélioration de la physique du bâtiment et sur la réinterprétation des façades. Au sud, la façade principale est munie d'une nouvelle peau en verre translucide qui contraste fortement avec l'aspect maçonné de la partie nord.
La crèche fonctionne à l'image d'un village; de petites maisons sont liées par un espace central, baigné de lumière provenant du patio et de l'escalier gradin, unissant les espaces communs et d'accueil de la crèche à ceux de chaque groupe d'âge. Chaque groupe est séparé de l'espace central par un meuble vestiaire et s'ouvre au travers d'une baie vitrée sur le parc, à la manière d'une loggia. L'espace central se développe jusque sur le toit où se situent les activités extérieures de la crèche.
La montagne a accouché d'une… maison ! «L'Ardévaz», cette montagne qui domine le site au nord, par sa forme et son matériau l'ardoise, a été l'unique source d'inspiration pour concevoir cette habitation. Formellement, le bâtiment est perçu comme un bloc posé en équilibre fragile sur le sol. Il est revêtu d'une enveloppe en ardoises naturelles. Les pans inclinés de la toiture épousent les flancs est et ouest de la montagne.